Région | Rohan |
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Localisation | Au nord de l’Halifirien |
Source | Combe Firien |
Confluent | Bouches de l’Entévière |
Signification | « rivière des confins » (rohanais) |
En anglais | Mering Stream signifiant « boundary stream » |
Autre nom | Glanhír (sindarin) |
Références | CLI III-II (iii) |
« À l’est, ses frontières [du Rohan] étaient l’Anduin et les contreforts occidentaux de l’Emyn Muil jusqu’aux embouchures marécageuses de l’Onodló, et au-delà de cette rivière jusqu’au Glanhir, cours d’eau qui baigne le Bois d’Anwar et se jette dans l’Onodló » — Contes et légendes inachevés — Le Troisième Âge — Chapitre 2 — Section 3
a rivière Mering formait une limite entre le Fenmark à l’ouest et l’Anórien à l’est. Elle constituait ainsi la frontière naturelle entre deux pays alliés : le Rohan et le Gondor. La Mering prenait sa source dans les Montagnes Blanches, dans la Combe Firien. Elle contournait l’Halifirien par l’ouest puis traversait le Bois de Firien où un pont de la Grande Route de l’Ouest la franchissait. Elle poursuivait ensuite son cours vers l’est, jusqu’à rejoindre l'un des bras de l’Entévière au niveau de ses Bouches. La rivière fut fortifiée sur tout le long de son lit après l’installation des Rohirrim sur les plaines du Calenardhon.
En Urimë 2510 3A, après la Bataille du Champ de la Celebrant, Cirion prit congé d’Eorl au pont de la rivière Mering, lui donnant rendez-vous trois mois plus tard. À la date fixée, le chef des Éothéod et l’Intendant régnant du Gondor se rendirent à la tombe d’Elendil où eurent lieu le Don de Cirion et le Serment d’Eorl.
ans les brouillons du Seigneur des Anneaux, pour une seule occurrence, apparaît l’hydronyme Firienlode. Pour Christopher Tolkien, il se pourrait que cela corresponde au nom original de la rivière Mering1).
Mering | |
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Langue | vieil anglais, rohanais |
Signification | Composé du nom vieil anglais mœ̄re, mēre « limite, frontière » |
Référence | RC, p. 773 |
Glanhír | |
Langue | sindarin |
Signification | « Rivière frontalière » composé du nom glan(n) « limite, frontière » et de la forme lénifié du nom sîr « rivière, ruisseau » |
Références | VT 42, p. 8 ; PE 17, p. 37 ; CLI, p. 352 |