Dates | ? - 3316 2A1) ? - 3316 2A : Dix-huitième et dernier Seigneur d'Andunië |
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Race | Hommes |
Groupe | Númenóréens |
Signification | Amoureux d'Aman (quenya) |
En adûnaïque | Aphanuzîr |
Père | Númendil |
Frères et sœurs | Elentir |
Enfants | Elendil |
Homonyme | Tar-Amandil, petit-fils d'Elros et troisième Roi de Númenor |
Référence(s) | Silm. Ak, TA & App. |
« Si je croyais que Manwë avait besoin d'un tel messager, répondit Amandil, je trahirais le Roi. Car il n'est qu'une seule loyauté dont le cœur d'un homme ne puisse s'affranchir en aucun cas. Mais c'est la pitié pour les Hommes et leur délivrance de Sauron l'Imposteur que j'implorerais de Manwë, puisque nous sommes quelques-uns du moins à lui être fidèles. Quant à l'Interdit, plutôt en subir moi-même la sanction que de voir tous les miens être tenus coupables. » — Le Silmarillion — Akallabêth
mandil était le dernier Seigneur d'Andunië, descendant d'Elros Tar-Minyatur par Silmarien, fille de Tar-Elendil, le quatrième Roi de Númenor. Il était un puissant conseiller d'Ar-Pharazôn, et était également le chef des Fidèles. Après l'arrivée de Sauron sur Númenor, il fut le seul personnage important à ne pas s'incliner devant la forte influence que celui-ci avait sur le Roi, luttant même activement contre tous ces desseins maléfiques.
algré cette résistance des Fidèles, l'Ombre s'installa définitivement sur Númenor et Amandil pressentit la chute de l'île. Il conseilla donc à son fils Elendil et à ses amis de se tenir prêts à partir vers la Terre du Milieu et décida de faire voile seul vers Valinor pour, comme son ancêtre Eärendil, demander le pardon des Valar.
e fut une quête vaine, car Númenor fut engloutie par Ilúvatar et plus personne ne revit Amandil. Cependant, Elendil et les Fidèles accostèrent sains et saufs sur la Terre du Milieu et fondèrent les Royaumes en Exil de Gondor et d'Arnor.