« Les deux taches s'assombrirent encore, mais elles rapetissèrent ; et soudain il vit, dressées devant lui de façon menaçante, légèrement penchées l'une vers l'autre comme les montants d'une porte sans linteau, deux immenses pierres levées. » Le Seigneur des Anneaux – Livre I - Chapitre 8