Per Lindberg — Septembre 2014 traduit de l’anglais par Vivien Stocker & Damien Bador |
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Notes de lecture : En tant que présentations ou compilations, ces articles sont les plus accessibles à tous les lecteurs. Aucune connaissance sur J.R.R. Tolkien n’est requise. |
l s’agit d’une tentative d’indexer tous les spécimens de l’usage que fit Tolkien des runes anglaises, en particulier dans le Hobbit. Cet index peut être nommé DRS (Spécimens Runiques de Daeron), en accord avec le DCS et le DTS (les Spécimens de Cirth et de Tengwar de Daeron, voir le site du Mellonath Daeron). Cet index a été compilé avec l’aide du Mellonath Daeron. Merci également à Damien Bador de Tolkiendil pour avoir repéré plusieurs spécimens moins évidents.
Les références données sont la plupart du temps structurelles, ce qui évite les confusions causées par la variation de pagination entre différentes éditions. Les abréviations du Système de référence tolkiendil sont employées.
Titre de l’avant-propos, écrit en runes
Citations de la carte de Thror (explications de la porte de derrière et des runes lunaires) et précisions concernant certaines runes, en particulier pour les lettres n’étant pas présentes sur la carte.
Texte runique sur la carte, expliquant les détails sur la porte secrète, avec l’ajout des signatures de Thror et Thrain.
Une rune D indiquant la porte secrète de la Montagne Solitaire.
Runes marquant les points cardinaux (E S O N).
Rendu des runes invisibles qui pouvaient seulement être vues dans certaines conditions à la lumière lunaire.
Une carte postale à Katherine Farrer. Une transcription est disponible dans les notes en fin de volume.
Un (long) titre complet du livre, avec les noms de l’auteur et de l’éditeur.
Identique à DRS 8, un (long) titre complet du livre, avec les noms de l’auteur et celui de l’éditeur changé en « HOUGHTON MIFFLIN AND CO ». Selon The Annotated Hobbit, Appendice B, on ne sait pas si c’est Tolkien lui-même qui modifia ces runes.
Un titre complet du livre (plus court toutefois que DRS 8), avec le nom de l’éditeur.
Une rune marquant la porte secrète de la Montagne Solitaire (différentes de la rune de DRS 4).
Texte runique sur la carte, donnant des détails sur la porte secrète. Voir aussi DRS 3.
Runes marquant les points cardinaux (N E S O).
Lettre de Gandalf à Bingo (Frodo) au Poney Fringant, signée des runes « GANDALF ». Comprend aussi un symbole runique particulier (rune « G » avec un cadre en forme de losange) qui constitue le signe de Gandalf, apparaissant après la signature et à l’extérieur de la lettre.
Similaire à DRS 15. Ce signe particulier à Gandalf (voir DRS 15) apparaît aussi en RS, p. 156.
Deux lettres runiques G et B dans un cercle inscrit sur une pierre indiquant l’endroit où Gandalf et Bilbo dissimulèrent l’or des Trolls.
Signe particulier de Gandalf (voir DRS 15) sur les paquets de feux d’artifices.
Une rune G efflorescente sur la boîte que Galadriel offrit à Sam. On trouve également une autre élaboration de cette rune, purement formelle, sur la page suivante du manuscrit.
Une rune S (pour Saruman) à l’avant des casques de cuir des Orques à Amon Hen.
Une rune S (pour Saruman) à l’avant des casques de cuir des Orques à Amon Hen. La rune n’est pas représentée, mais est décrite en détail ; elle a des lignes ondulantes.
L’inscription runique de la Tombe de Balin dans la Moria était initialement écrite avec les runes du vieil-anglais, mais fut réécrite ensuite en “Runes du Beleriand”, i.e. les cirth. La manuscrit lui-même n’est cependant pas publié. CJRT reproduit seulement la dernière version sur le folio V (p. 464).
La rune S du vieil anglais, biffée, devant les mots « The red eye »2), décrivant la tête de pierre décapitée au carrefour en Ithilien (voir p. 132). Cf. DRS 20-21. Le manuscrit lui-même n’est toutefois pas reproduit.
Une version préliminaire de la carte de Thror, très similaire à la version finale (cf. DRS 3-6, gravure 28 dans AotH). Les runes lunaires utilisent la version « encadrée » de la rune pour D.
Le texte des runes lunaires vu en miroir « comme Elrond les vit ». Contient aussi une autre phrase écrite en cirth.
Une version encore plus propre des runes lunaires de DRS 26, désormais en contours. Intitulé « The MoonRunes »3).
Le dernier brouillon des runes lunaires de DRS 27, qui ne sont désormais plus vues en miroir. Intitulé « These are the Moon Runes seen by Elrond »4).
Le tableau personnel de Tolkien pour les « Runes used by Thorin & Co. »5), avec texte explicatif. Les runes se voient attribuées des noms en anglais moderne. On observe cependant des différences avec la manière dont les runes sont réellement employées dans le Hobbit (voir l’article Les runes anglaises de Tolkien, du même auteur).
Il existe aussi un manuscrit similaire qui y est joint (Ad.Ms.H.S.5) et a été publié dans la deuxième édition de The History of the Hobbit, sur lequel figurent des « runes anglo-saxonnes ». Il n’est pas indexé ici. Les runes utilisées par Thorin & Cie. sont dites être « très similaires, mais pas identiques aux runes anglo-saxonnes »6). La note TN 4 mentionne en outre deux autres tableaux similaires de runes anglo-saxonnes, Ad.Ms.H.S.1 & 3.
Les runes que Gandalf inscrivit sur la porte de Bilbo pour guider les Nains. Consiste en une rune pour B, une pour D et une qui n’est pas observée ailleurs.
Une page de « manuscrit avec l’alphabet runique » insérée dans une copie du Hobbit, avec une dédicace de Tolkien à sa tante Jane, vendue par Sotheby’s. Alphabet runique anglo-saxon assez complet, avec les noms anglo-saxons (et les traductions en anglais moderne) et les valeurs phonétiques correspondantes.
En dessous de la dédicace : « Norman Davis from J.R.R. Tolkien » sur la page de garde d’un exemplaire du Hobbit, cette inscription dit : BEST WI[SH]ES FROM [TH]ORIN AND KOMPANY.
Les mots « My turn » écrits par l’Ours Polaire dans la lettre du Père Noël de 1937 adressée à Christopher et Priscilla, suivis de la précision « C'est du runique ».